jeudi, février 25, 2010

Le printemps tarde

Il y en a qui se rase la boule à zéro, moi je dégraisse mon blog, ça me prend tant d'énergie que je n'écris plus.
A propos de cheveux, en attendant un bus, je suis tombée en extase devant une femme qui n'avait plus rien sur le caillou et en faisait état. Son ravissant sourire était plus éblouissant que la chevelure la plus superbe, elle en avait conscience...
Cela me fait penser aux écoliers qui se sont rasés la tête afin que leur camarade cancéreux réintègre la classe sans complexe.
Nous avons bien eu Yul Brynner qui fut un sex symbole encore inégalé.
Bernard Giraudeau: Si on ne guérit pas la personne, on ne guérit pas la maladie

Aucun commentaire: