samedi, mai 10, 2014

Que la modestie soit!

Patrick Sébastien s'est refait une jeunesse en perdant du poids.
L'érotisme est latent dans tous les numéros de cirque, le rapport fusionnel avec l'autre, qu'il soit homme, bête , animal ou objet.

"Le plus grand cabaret du monde"mérite bien son titre, n'importe quel artiste fait pale figure à côté des gens du cirque, ce travail phêńoménal que représente chaque numéro en plus du talent, de la force, de la beauté, de la prise de risque, Jean Batiste Thierree disait que sans folie, l'on ne pouvait se jeter d,un trapèze dans le vide, c'est pour cela que dès qu'un chapiteau s'installe on voit les fous des environs rappliquer et se faufiler sous les bâches pour assister aux répétitions. J'avoue , petite, avoir volé des œufs à ma mère, pour avoir le droit de regarder le petit cirque de village .
"On ne dit pas des fous mais des malades mentaux" ( Saint Anne 1952), ce qui ne changeât rien à l'affaire en ce qui concernait la barbarie de la camisole de force, des comas à l'insuline, des électrochocs ( parfois simulés par les infirmières avec un fil de fer à repasser afin de terroriser le malade et qu'il obéisse), au vu d'un dortoir de 30 lits, imaginez la panique!

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