lundi, avril 02, 2007

Les clones

Mes vieilles copines virent à la dame patronnesse moralisatrice à souhait, après de tulmutueuses péripéties dues à un narcissisme forcené, la ménaupose alcoolisée à eu raison de leur brillante carrière, et la cave de leur conjoint se change en eau au contraire du Christ qui transformait l'eau en vin. Du coup, elles voient noir, et m'ayant vue transparente durant leurs leuggorrées vantardes, elles ne supportent pas de me découvrir quelques fans. C'est facile pour moi de taper dans le tas, mes copines sont des clones, avec les fragilités de ce formatage. C'est celà qui me touchait et m'a fait les fréquenter commes des soeurs orphelines, bien que leur héritage en parti dù aux enfants des maris, entretenait des gigolos d'une tchatche brillante. Tant que je me suis tue, elles m'ont invitée, mais ma parole ne vaut pas la leur, alors elles crient au scandale, ayant déjà fait taire leurs proches par l'hystérie, le désir du pouvoir, les mensonges, les menus malversations sous couvert d'une mythomanie bon teint, on ne peut rien quantifier, que croire ou fuir. C'est bien une demi-douzaine à la pelle de clones que je connais. Je n'ai plus l'âge de ces jeux pervers, je suis fatiguée, honte sur moi!

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