jeudi, mai 16, 2013

Il y va de la maigreur

Jacques Sternberg prétendait que les petites femmes boulottes brûlaient bien moins au lit que les maigres, il n'aimait pas la brune sensuelle il lui préférait un grand frigidaire suédois, je l'ai toujours vu courir après une longue chevelure, frange sur le front. À la Françoise Hardy, si possible languide.

Béjard Maurice aussi faisait l'apologie de la maigreur prouvant par un ballet chorégraphié pour l'une de ses danseuses étoiles, que des pattes d'insectes étaient très érotiques et carnassières'
Ceci dit je n'ai jamais rencontré de regard aussi magnétique que celui de Maurice Béjard, il vous transperçait jusqu'à l'âme, une fois, invitée dans l'émission Bienvenue chez Guy Beart, Manitas de Plata à joué de sa guitare en me fixant, et je crois avoir eu un petit orgasme en direct.

Évidemment  Audrey Hepburn à séduit le cinéaste Billy Wilder pour jouer  de sa minceur l'élégante jeune fille  Hollywoodienne.

Et notre tragique mannequin anorexique qui a fait la une des affiches,  photographiée par un italien, depuis on à plus le droit d'engager en dessous d'un certain poids.

Moi même je n'ai dansé sept ans au théâtre du Mogador que parce que je servais de modèle à Henri Varna qui ne pouvait toucher du gras,  il pouvait faire des d'écolletés plongeants jusqu'au nombril, sauf que mes camarades mieux nanties avaient toujours un sein ou une fesse qui sortait lors de battements de jambes pendant le French Cancan.

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