lundi, juillet 12, 2010

Ca sent les vacances

Vue du bureau de Serge Perkowski
http://perkowsky.site.voila.fr

Samedi dernier j'étais à Villerville avec Féri Rutmayer, (marquetiste) afin de voir Anna Puccini qui y crée ses bijoux, et assister au Vernissage de "Portraits" chez Serge Perkowsky - Nanga(La Galerie du Singe en hiver)/www.nanga.fr/p/perkowsky.htm
Le peintre Yves Riguidel, lorsque je lui ai dit avoir été modèle, m'a présenté le sien, Murielle Lourenço, une jeune femme que j'avais rencontrée en 2003 lorsqu'elle avait présenté à Trouville son précisément "Modele" www.lesecransdocumentaires.org J'avais adoré son documentaire, elle pose et y parle en même temps de son métier de modèle avec beaucoup de finesse, de justesse, et esthétiquement elle est superbe. Nous avons repris notre conversation d'il y a sept ans

Dès qu'on éventre Paris avec des pelleteuses on voit les rues désertées, c'est juillet-aout et plus si travaux pas terminés, ce qui est toujours le cas. On s'y croit à l'abri du bruit, (les autos prennent le frais), c'est pire que jamais dans notre belle Capitale, les touristes doivent enjamber des fossés, et nous qui rêvons de campagne on voit enfin la couleur de la terre sous le bitume qui sue de chaleur.
Restent les cafés, si l'on est avec un fumeur, la terrasse fait foi du remue ménage des ouvriers du bâtiment, Pauvre d'eux! par cette canicule, je ne suis pas montée dormir chez moi, de crainte de trépasser, heureusement qu'un ami m'a offert sa douche et de partager son matelas: On a moins chaud assis, couché il y a moins de surface qui prenne l'air du ventilateur! disait-il.
Au café Philo des Phares, malgré l'affluence plus légère, les esprits s'échauffaient, je pense aux pays chauds, où l'on se trucide joyeusement. Le thème: C'est bon pour le moral!
Je me suis souvenue que Sternberg me traitait d'amorale


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