J'ai toujours pensé que j'avais besoin de trois hommes: un amoureux transi pour les temps creux ( bistrot, cinéma, expositions) un amant follement désirè, et un concubin pour la volupté du dormir ensemble, parfois les trois hommes ne font qu'un, mais souvent par manque de temps, chacun joue sa partition. C'est avec ravissement que je viens de voir ce reportage sur la polyandrie dans un petit village montagnard du Népal. La femme fine et souriante raconte être heureuse d'avoir épousé les quatre frères. Chacun travaille selon ses dispositions, quand l'un s'absente les mois de transhumances., l'épouse n'est jamais seule pour les travaux qu'exigent la ferme, ni pour le lit, elle a du sentiment pour tous, sont éloignés les trois frères par des tâches extérieures quand elle prend un moment pour l'un d'entre eux, ainsi l'harmonie règne pas de jalousie, ni de conflit d'intérêts, la terre n'est pas morcelée.
Je ne savais pas que ce système existait légalement.
mardi, octobre 13, 2015
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